
Andrée et Michel Hirlet
Céramistes
Andrée et Michel Hirlet travaillent ensemble depuis 1963
Formation :
Andrée Hirlet :Lycée de Sèvres-École des Métiers d’Art-Salon des Artistes Décorateurs-Salon de l’Art Sacré
Michel Hirlet : École des Métiers d’Art-Cours du soir de dessin Ville de Paris
Nombreuses expositions et acquisitions. Présents dans collections particulières et institutions en France et à l’étranger.
« Le parcours artistique d’Andrée et Michel Hirlet est né d’une complicité indéfectible et d’une vocation partagée pour la céramique, qu’ils pratiquent ensemble à Paris depuis la fin des années 50. Leur recherche d’un équilibre et d’une harmonie faite de rigueur a été nourrie par une réflexion approfondie sur les possibilités sculpturales de ce matériau. Soucieux à la fois de monumentalité et de mobilité, ils tentent d’audacieuses articulations et des emboîtements de leurs volumes, le plus souvent modulaires, Ils essaient des accords de couleurs inhabituels par la pose directe d’émaux sur leur terre encore crue, de telle sorte que la couleur imprègne chaque pièce de façon minérale et naturelle. Ce couple sans cesse au travail rêve toujours d’associer corps et architecture, abstraction et figuration, poésie et céramique dans des formes qui soient à la fois concises et généreuses, extrêmement vivantes… Leur pari esthétique est un défi réussi ! » (F.Bodet)
Andrée et Michel Hirlet vivent et travaillent à Paris.
Michel : École des Métiers d’Art – Cours du soir de dessin de la Ville de Paris
Andrée : Lycée de Sèvres – École des Métiers d’Art – Salons des Artistes Décorateurs, de l’Art Sacré
La matière :
Grès chamotté émaillé, pâtes et émaux sont fabriqués à l’atelier à partir des matières premières provenant de divers sites d’extraction.
La céramique monumentale :
Les volumes doivent être fragmentés en plusieurs éléments pour faciliter le séchage, la cuisson et la manipulation, contrainte mise à profit en tant que moteur créatif.
Travail en commun depuis 1963 :
– la matière :grès chamotté émaillé, pâtes et émaux sont fabriqués à l’atelier à partir des matières premières provenant de divers sites d’extraction.
– la céramique monumentale : les volumes doivent être fragmentés en plusieurs éléments pour faciliter le séchage, la cuisson et la manipulation, contrainte mise à profit en tant que moteur créatif.
– la sculpture et l’objet :
1975 – 1990 Expositions permanentes dans les îles de Ré et d’Oléron et dans la presqu’île de Quiberon.
Acquisitions :
Musée Provincial de Wroclaw (Pologne) – la ville de Paris – la ville de Laon – Musée National de la Céramique (Sèvres)
Médailles :
1969 : Floralies Internationales de Paris – 1970 : Biennale de Gdañsk (Pologne) – 1980 : Bilan de l’Art Contemporain, Canada
Œuvres monumentales :
Fontenay le Fleuri (1965) et Pülversheim (baptistères) – Chevigny Saint Sauveur, Dijon, Calais (fontaine, sur concours) – Limoges, Siérentz, Pont l’É vêque, Quétigny lès Dijon – Saintes (fontaine en quartier ancien), Villepreux (1998).
Acquisitions :
Musée Provincial de Wroclaw (Pologne) – la ville de Paris – la ville de Laon – Musée National de la Céramique (Sèvres)
Ces artistes ont participé rue Paul Fort à :
L’exposition « Les Fusionnels » en juin 2016
L’exposition « Autour du Japon (V) » en novembre-décembre 2015
L’exposition « Equilibres construits » du 1er au 21 octobre 2014